Quelques textes pour le gel des frais de scolarité

Voici quelques textes proposé et rédigé par l’un des conférenciers, Pier-André Bouchard St-Amant.

Droits de scolarité – Un débat ou un faux débat?
http://pabsta.qc.ca/fr/textes/opinions/recteurs

Le Devoir, 10 septembre 2010.

En réponse au texte de Peter Dietsch « financer l’éducation supérieure : plaidoyer pour un impôt postuniversitaire »
http://pabsta.qc.ca/fr/textes/publications/ipu

Faisant suite à mon dernier texte dans cette revue, le directeur de publications m’a demandé de participer à un débat avec un professeur de philosophie, Peter Dietsch. Ce dernier propose une alternative au modèle de financement actuel des études postsecondaires, soit un impôt postuniversitaire (ci-après IPU). Peter Dietsch n’étant pas disponible, j’ai accepté de commenter son texte « Financer l’éducation supérieure : plaidoyer pour un IPU », paru dans les Cahiers de l’éthique du Centre de recherche en éthique à l’Université de Montréal. Je commencerai d’abord par résumer ses positions et arguments, puis je passerai à la critique à proprement dite de son exposé.

Les droits de scolarité doivent demeurer faibles
http://pabsta.qc.ca/fr/textes/frais

Pier-André Bouchard St-Amant, Candidat à la maîtrise en économie, Université du Québec à Montréal
Nicolas Marceau, Professeur titulaire, Département des sciences économiques, Université du Québec à Montréal

Édition du lundi 05 mars 2007 – Le Parti libéral du Québec annonce son intention d’accroître les droits de scolarité universitaire de 30 % en cinq ans. Nous croyons que cela serait mal avisé. Rappelons que deux types de régime permettent de garantir un niveau donné de financement global pour les universités: Régime avec droits de scolarité élevés et financement public faible

Pauvre Ontario!
http://www.pabsta.qc.ca/fr/pauvreontario

Le gouvernement de l’Ontario a décidé de réduire les frais de scolarité des étudiants ontariens de premier cycle de 30% dès janvier prochain. Cela représente une réduction des frais de scolarité d’environ 1600$ pour les futurs étudiants et les étudiants actuels. Étant moi-même étudiant dans une université ontarienne, j’étais heureux d’apprendre cette nouvelle! Cela dit, quand j’ai voulu me renseigner sur les possibles impacts d’une baisse des frais de scolarité et en lisant différentes sources du Québec, j’en suis venu à une seule conclusion: l’Ontario court à sa perte!

Je détaille ci-bas chacun des arguments que j’ai trouvé jusqu’à maintenant.

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